Cuba : Yoruba Andabo, le 15 février à 20h, 22 euros. Rumba et rituels afro-cubains.Fondée en 1961, la compagnie du maître Geovanni Del Pino Rodriguez, se consacre aux chants et danses des rituels de la santeria, religion afro-cubaine née de la rencontre entre les religions africaines et le catholicisme au temps de l’esclavage. Forum Musiques et rituels afro-américains. Le 16 février.Conférence à 15h, suivie d’un concert de Yoruba Andabo à 17h30. 17euros.
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Martinique et Guadeloupe : Les maîtres du bèlè invité spécial Dédé St Prix (Martinique), Kan’nida invité spécial Napoléon Magloire (Guadeloupe) le 16 février à 20h, 22 euros la soirée.Longtemps méprisées, les traditions bèlè (Martinique) et gwo ka (Guadeloupe) sont nées de l’interdiction faite aux esclaves de parler leurs langues, de jouer leurs musiques et pratiquer leurs religions. Haïti : Ti-Coca, le 16 février à 22h30, gratuit. Contredanse et accordéon vaudou.Importée à Haïti par les colons, la contredanse française est devenue, par une ironie de l'histoire, une des formes pour chanter les dieux et les esprits dans le culte vaudou. Honduras : Ensemble Wabaruagun, tambours et danses garifunas. Le 17 février à 16h30. 22 euros.En 1635, des navires négriers font naufrage au large de l'île de Saint-Vincent. Les rescapés s'y installent et se mélangent aux Indiens Caraïbes pour donner naissance au peuple garifuna, aussi appelés les Black Karibs, héritiers d'un répertoire afro-amérindien. Les concerts de musique garifuna sont rares à Paris, à ne rater sous aucun prétexte.
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