Le couple Obama et le couple Sarkozy ©getty |
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Selon le New York Daily News, Jonathan Alter, éditorialiste au sein du prestigieux magazine américain Newsweek révèle dans un livre à paraître une anecdote au sujet de Carla Bruni. La première dame française, lors d'un entretien avec Michelle Obama, aurait affirmé à cette dernière qu'elle et son mari (Nicolas Sarkozy NDLR) avaient fait attendre un chef d'Etat pendant qu'ils faisaient l'amour.
Elle aurait demandé à Michelle Obama si ça lui était également arrivé de faire patienter quelqu'un de cette façon. Michelle Obama, sans doute un peu gênée par la question, a ri nerveusement et a répondu non. Alter ne cite pas la source qui lui a fourni l'anecdote.
Le livre de Jonathan Alter intitulé "The promise : president Obama year one", (qui sort aux Etats-Unis le 18 mai) revient notamment sur les coulisses de la première année de présidence de Barack Obama. Il rapporte de nombreuses anecdotes comme une colère piquée par le président américain en octobre 2009 ("un savon présidentiel comme on n'en n'avait pas vu aux Etats-Unis depuis plus d'un demi-siècle") contre le général Stanley McChrystal qui commande les troupes américaines en Afghanistan.
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Barack Obama et le général Stanley McChrystal en octobre 2009 ©souza/getty |
McChrystal avait rejeté publiquement lors d'un discours à Londres le plan soutenu par la Maison Blanche, et le vice-président Joe Biden. Barack Obama a pris les commentaires de Stanley McChrystal comme une façon de le forcer à accepter le plan que le pentagone souhaitait voir mis en oeuvre. Obama a rapidement mis les points sur les i avec son état-major :
dans le bureau ovale, il a fait savoir au général David Petraeus et au ministre de la défense Robert Gates qu'il était "excessivement mécontent" de la façon d'agir du pentagone et des fuites dans la presse. Il a déclaré qu'il voulait savoir "ici et maintenant" si le pentagone soutiendrait les stratégies présidentielles à venir.
Patraeus s'est dit par la suite "chagriné" et Gates et lui auraient finalement promis leur loyauté au président américain. Ce dernier a finalement donné son accord à certaines options voulues par le pentagone en Afghanistan.
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