Eugénie DIECKY et MATIERES GRISES - Développement des compétences et des organisations, vous propose un atelier ayant pour thème : Prospérité et KONGOSSA* le mercredi 19 novembre 2008 prochain
Dans notre colorsphère, la critique stérile n’est pas un effet de mode ! Bien au contraire, c’est un exercice où nous brillons particulièrement, à un point tel que certains chefs d’entreprises estiment que si les informations utiles se propageaient aussi facilement que le kongossa, nos états ne connaitraient jamais de crise économique !
Ce syndrome affecte tous les milieux et tous les âges, transcende les sexes et le temps. Il s’infiltre, perfide, dans nos oreilles, passant par la bouche, infestant nos gestes, notre sourire et notre sens du discernement. Il dessèche les plus créatifs, les plus inventifs et intelligents d’entre nous.
Paul, par exemple, brillant aérodynamicien avait un rêve : construire le premier avion africain. Ses parents l’avaient, grâce au travail de la terre, envoyé en France et il avait fait des petits métiers pour obtenir avec mention son diplôme, puis un brevet en aéronautique. Mais lorsqu’il se mit en quête de financements, Paul dégringola rapidement car dans le pays des droits de l’Homme, des banquiers blancs lui rirent au nez, convaincu qu’il était un plaisantin.
Pire fut la réaction de son entourage et même de celui qu’il considérait comme son meilleur ami :« Mais, qu’est-ce qu’il veut prouver, qu’il est plus blanc que le blanc ? ». Piqué dans sa chair et son orgueil, Paul s’enferma dans une tour d’ivoire. Solitude, haine, découragement, rage, démotivation et précarité s’ensuivirent pendant cinq longues années. Et la boucle était bouclée.
Heureusement, le kongossa n’avait pas tué ce que Paul avait de plus précieux : son instinct de confiance. Paul était aguerri et avait survécu à la méchanceté des humains. Mais que dire des milliers d’entre nous que la méchanceté avait jeté sur les terres arides de ce fléau universel ?
Et surtout, que faire pour ne pas sombrer dans le venin de la méchanceté ? Comment re - créer la confiance, la solidarité et la prospérité dans notre communauté ? Réponse : Kongossons ! Kongossons utile et efficace car la bonne nouvelle c’est que l’art de faire du bon kongossa s’apprend. Et c’est l’objectif de cette rencontre : transformer les critiques en information qui apportent un changement positif, formidable tremplin pour notre équilibre et prospérité collective.
*Kongossa : expression populaire camerounaise désignant la rumeur. Se dit Songui-songui au Congo.
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Date et lieu : Mercredi 19 novembre 2008 de 19h à 22h
Espace FOKOP
8 Boulevard Saint-Martin 75010 Paris M° République ou Strasbourg Saint-Denis
Tél : 01 42 49 70 82
La formation " Transformer les critiques en informations positives?
Programme
- Apprendre à dire et à recevoir des paroles désagréables mais justifiées
- Traiter les petits conflits en trouvant des contrepoints positifs
- Dissocier chez une personne ses comportements négatifs de sa personnalité
Les points forts de cette rencontre
- Apports de plusieurs techniques de communication et prise en compte de la problématique personnelle de chacun
Intervenante
Femme active, intuitive et positive, Eugénie DIECKY a plusieurs casquettes : écrivain, journaliste, coach et maîtresse de la parole. Son génie consiste à détecter et mettre en lumière le potentiel que chacun porte en soi. Depuis 10 ans, elle accompagne les personnes et les organisations désireuses de se doter d’une posture et d’outils leur permettant d’affronter la complexité des relations interpersonnelles en milieu social, familial et professionnel. Cette citoyenne du monde est détentrice de plusieurs prix, notamment, le prix de la réussite au féminin, le prix du meilleur défenseur des droits de l’Homme et elle est également citoyenne d’honneur de la ville de l’Haÿ les roses.
Tarifs : 20 euros
Inscriptions et renseignements : Mathilde LANTENOIS Tél : 01 42 49 70 82
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